DÉBAT GILETS JAUNES: RAPHAEL de PROCE RÉAGIT
Depuis le début du mouvement on parle d'une minorité de violents. Il s'agit plutôt d'une majorité de violents qui rentrent dans l'une ou l'autre des catégories suivantes : 1/ les casseurs pilleurs "professionnels" 2/ les violents occasionnels emportés par la contagion de la violence et qui n'étaient pas venus pour ça à l'origine. La preuve en est qu'une grande partie des personnes interpelées n'avaient pas d'antécédent judiciaire 3/ les violents tacites : une grande partie des GJ ne semblent pas mécontents de voir des casseurs aller au charbon pour eux. Peu d'interviewés condamnent fermement les dérapages et les justifient par une réponse aux " violences " policières. La plupart se rendent compte que sans ces violences on aurait beaucoup moins parlé de leur mouvement. Raphaël de Procé